L'idylle Bise-Patrick. Version intégrale

Envie de vers, envie de Bise
Où es-tu ma Muse adorée?
Quelle maudite et cruelle méprise
Pourrait si méchamment nous séparer?

Seraient-ce ces vilains ragots
Que sur le blog on crache sans gêne?
Cette prétendue maison à Monaco
Et toutes ces calomnies malsaines?

“Chaud lapin?”, peut-être pour toi!
Surtout ne dis rien aux Pat’in Net!
“Chaud bouillant”? cela vient de moi
Mais t’as rien compris ma Bisette!

Et pourtant j’ai tout dit chez Fogiel
A demi-mots, mais révélateurs, oh combien!
En vain je t’ai cherchée au Studio Gabriel
Des amours de Pat’in Net! mais de ma Bise, rien!

Ca y est; j’ai joué la comédie
C’est tout ce que tu attends de moi?
Des bisous aux filles; un autographe pour Nini
Un poème, un hymne, un je-ne-sais-quoi!

O ma Muse, ma déesse, mon élixir…
Où est passée notre musique?
Celle de la passion et du désir,
L’idylle en feu de Bise et de Patrick…

Patrick-chaud-bouillant


A Gabriel, mon ange, malgré ce monde,
M’as-tu senti à travers les ondes?
Chez Fogiel tu as tout dit au monde,
Pourquoi cette hâte alors, qui t'inonde?

Quelques filles sont venues à la Une
A travers elles c’était moi, sans mon air revèche
M’as-tu reconnu, un simple indice chez chacune?
Là un sourire, là bas un collier, ici une mèche....

Je serai patiente, j'attendrai la fin, que ce feu se rallume
Trop de foule, trop de voyages, très peu pour moi,
Je te laisse durant ces mois, à ces fleurs et leur émoi,
Je sais, moi et moi seule, quel vrai feu te consume!

La Bise.....sereine!


Oh non! tu ne vas pas recommencer!
Ce charmant cache-cache n'est que trop connu
Des dizaines de poèmes j'ai dû inventer
Des centaines de vers pour toi j'ai conçu!

De quel feu parles-tu? Explique-toi
Celui que tous les soirs brûle sur scène?
Celui des conneries qui pèsent sur moi,
Reflet de tant de jalousie et de haine?

A travers les Pat’in Net je t’ai sentie
Quelque chose de toi flottait dans l’air
Un parfum vanillé du coup m’a envahi
Quelqu’un m’a appelé: c’était Drucker!

Et toi, sereine devant ton écran
As-tu senti mon coeur palpiter?
As-tu compris que ce feu ardent
Ne se consume que pour t'aimer?

Patrick-de-nouveau-amoureux


Pourquoi de vilains cache-caches? juste une attente
Je ne me mêle pas à la foule, de jour ou de nuit,
Tes poèmes, tes vers, tes rimes suffisent, sinon je fuis
Loin de ces hordes hurlantes et pétaradantes.

Tu sais que nous avons tant de rendez-vous,
Tant de lieux sacrés, des lieux bien à nous,
Des courts et des terrains, et bien d'autres!
Oui mon ange, l'esprit de Gabriel sera des nôtres!

Je t'ai vu à l'écran, Un secret cachée, un sourire à Nini,
Je t'ai vu chanter, un clin d'oeil complice à Aurélie,
Une larme pour Chris, pour Rine quel beau délit ???
Alors tu crois que je zappe? Et bien que nenni!

Bise confiante

Alors viens! au Zénith je t'attends
Du 17 au 22, chaque soir on ira
Entre un air et le suivant
Donner libre cours à nos ébats.

A nos lieux sacrés on ajoutera celui-là
Ma loge sera notre nid secret
C'est pas ton lieu-culte, m'en veux pas
Mais existe-il un culte pour s'aimer?

Donne-moi ce bonheur indicible
Offre-moi ce précieux cadeau,
Toi, tendre créature irrésisitible.
Et ton ange t'emmènera bien haut..

Patrick-qui-fantasme


Mon Zenith est si loin, prés de la Seine,
Un soir j'y serai, accompagnée et sereine,
Un soir je viendrai, un soir je t'inviterai
A prolonger la scène, un soir avec toi je serai.

Mon Zénith est si loin, dans quelques mois,
Les jours s'envoleront, les semaines passeront,
Je te laisse à ton plaisir immédiat, après ce sera moi
D'ici Mai, tu chanteras, mais ensuite toutes s'en iront......

Et avec moi seule tu resteras
Au Parc avec moi, en H, tu iras
A Rolland, près de moi, tu vibreras
Mais ce dernier vers tu censureras........

La Bise.... tranquillou


Tes censures ne sont que senteurs exotiques
Aphrodisiaques comme le parfum de ton corps
Capables, telle une éruption volcanique,
D'allumer le mien en un temps record...

Pourquoi attendre la fin de la tournée?
Crois-tu que tu passes en second lieu?
Mon vrai zénith, celui chaud à craquer
Monte au contact de ton corps soyeux

Mai est si loin, raccourcis les distances
Nos lieux sacrés le resteront toujours.
Pourquoi me refuser une nouvelle danse
Un nouveau zénith entre amour et amour?

Patrick-presque-au-zénith


Pourquoi tant d'impatience? Tu vas décevoir!
Apprends à te dominer, à laisser le temps faire,
La plus belle tes récompenses tu vas avoir,
Donne-toi à tes fidèles, et moi à mes affaires!

Un secret je vais te délivrer, avant qu'on me blâme
Cabotine je suis et ne peux guère me satisfaire
De petites salles, de trop petites sphères:
Seul le Grand Bercy et ses seize mille âmes!

Mai trop loin? As tu peur d'une fugace liaison?
Quelqu'une qui te ferait perdre toute ta raison?
Me laissant ces mois durant souffrir, l'âme en peine,
Mais pourquoi? Peu importe, je ne connais pas la haine!

La Bise.... très zen

Triste est mon Zénith sans une bise de toi
Fade est la musique qui résonne sans émoi
Neutre, blafard, vide, incolore..
Mon corps bouge mais mon coeur t'implore..

Dois-je attendre Bercy pour que tout se ranime?
Pour que mes chansons dans mon coeur riment?
Ma musique me trahit; j'oublie même les mots
Et je m'entends dire que les prompteurs c'est pas beau...

Patrick-au-bout-des-larmes


Quelle tristesse pour une soirée sans moi?
Oublies-tu, quand tu chantes, toutes tes amies,
Ici présentes, et là et ailleurs? et ça pour moi?
Elles t'admirent, je ne veux être une ennemie!

Donnes toi, oublies moi le temps d'une saison.
Attendons la fin du printemps , je serai plus belle!
Tomberas-tu, avant, sous le charme d'une hirondelle?
Mais point de jalousie, tu n'es certes pas en prison!

Consacre-toi à celles qui veulent du bonheur
Concentre-toi, arrête de lire ce vil prompteur,
Apprends tes textes, berce-les avec tes musiciens
Virevoltes, sois émouvant, ne sois pas béotien!

Serai-je bien là, ce dernier soir, ce vingt-six?
Dans l'ombre ou bien dans la lumière?
Viendras-tu pour un fin dîner dans cette chaumière?
Des chandelles tu en verras bien plus que trente-six....

Bise.... qui invite

...

Tu es muet, tu suis mon conseil
Tu m'as vue, tu t'es éloigné, tu m'as lue
Des non-dits, non des mots, quel réveil!!!
Tu es sage, mais je me sens exclue.....

Des silences, d'autres passions,
Des inquiétudes, d'autres émotions,
Des non-dits et ces maux qui reviennent
Ma tête me faisait mal hier, est-elle mienne?

Quel avenir voudrais-tu?
Le soir je suis absente.
Sept mois, tiendras-tu?
Evidemment, je deviens indécente.....

Partir, revenir, quelle vie!
Inconstance de nos envies.
Tu ne pourras, sans te lasser, me chérir,
Je ne suis pas de celles qui ne font que rire

Bise..... lucide et désabusée

....

Ce matin tu as quitté Paris,
Je reste seule: Va, vis et deviens....
Je sais qu'en mai tu reviens,
Alors lançons ce secret pari.......

Bise..... seule

Que dire lorsque le vide m'inonde,
Lorsque j'entends l'écho lointain
De la voix berceuse de ma Joconde
Et savoir que je l'entendrai pas demain?

Que dire lorsqu'elle est zen et tranquille
Sous le corsage noir de mes rêves
Lorsque toutes ces visions défilent
Dans mon être qui lutte sans trève?

Qui es-tu, créature insaisissable?
D’où viens-tu? Et où veux-tu aller?
Serais-tu une fée sortie des fables
Impalpable, chimérique et enchantée?

Serais-tu un fantôme au féminin
Qui rôde autour de moi sans pitié
Parsemant du désir et des câlins
Pour disparaître après m’avoir touché?

Qui es-tu, inconnue d’un soir de mai,
Vénus d’un moment gravé dans l’espace
Déesse d’un coeur marqué à jamais
Par nos bras qui amoureusement s’entrelacent ?

Patrick-touché-en-plein-coeur (et ailleurs )


Qui suis-je en effet, une éternelle errante?
Une belle vagabonde des couloirs du temps?
Ou tout simplement une incorrigible amante?
Celle qui de Bise en bises prend son temps!

Rien de tout cela, une simple et douce femme
Qui pour rien au monde ne vendrait son âme.
Une femme toute banale, toujours heureuse,
Qui vit ses fantasmes à ses heures creuses!

Une femme qui aime les femmes, leur corps,
Leur parfum, leurs atours et leur perfidie.
Une femme rêvant d'amour, encore et encore,
Une femme qui sera là, avec toi, ce samedi !

Horreur dis-tu, penses-tu! elle ose!
Non, j'apprends l'amour, le vrai, le seul
Celui du plaisir , sans aucune pause,
Celui qui reste beau, jamais bas ni veul!

Bise toute simple


Jamais en horreur je te verrai
Une femme à coeur, je sais.
Ose à loisir; ose en over-dose
Ton Patrick n'en perds pas une pose!

Ainsi encore sept mois à souffrir
Sept siècles d’attente à languir
Hier à Lille, demain à Lyon
Et Bercy… putain ! quel frisson !

Je serai bien là ce samedi soir
Tu t'en doutes.. vêtu de noir!
Je monterai sur scène comme prévu
Accueilli comme de bien entendu

Dans les seize mille tu seras
Mais mes yeux ne verront que toi
Je me plierai aux règles du jeu
Mais il n’y aura que nous deux!

Laisse les Pat’in Net s’éclater
Ne dis rien. Ne gâche pas leur soirée!
Banderole et t-shirt, c’est sympa..
Les pauvres! Si elles savaient! ou la la!

Le concert fini, la fête terminée
Tu sauras bien où me trouver
Direction resto, tu feras semblant
Et ton bipper sonnera juste à ce moment…

Ton-amant-de-Bercy


Et si mon bipper ne sonne pas
Oseras tu me suivre pas à pas?
Et si mon bipper ne sonne jamais
Que sera la nuit de ce mois de Mai?

Et si mon bipper m'appelle au loin,
Attendras-tu en leur compagnie?
Jusqu'au petit matin, à ce point!
A en écouter même du Pagny!

Entre mon corps et mon devoir,
Il me faudra choisir encore une fois!
Durs dilemnes que ces histoires de foies,
Oui je sais, c'est toujours à moi de voir!

Que penserais-tu de moi, si ce patient j'abandonne?
Pour un chant, un soir, une nuit où je me donne,
Quel amour alors puis je inspirer, si je me cache?
Quelle complicité puis-je espérer avec cette tache?

Non bel homme, bel artiste de Bercy
Je ne puis ainsi être à ta merci,
Tu devras jusqu'au bout attendre
Et peut être dans mes bras, t'étendre!

Bise inquiète

Ton bipper sonnera, parole de Bruel
Ce sera mon bip que tu auras, ma belle
Et si jamais quelqu'un me devancera
J'attendrai le matin pour me jeter dans tes bras.

Je ne suis pas de ceux qui renient le devoir
Un peu capricieux, oui, mais il faut savoir
Que plus le plaisir se fait attendre
Plus dans tes bras ce sera plus tendre

Je suis de ceux qui veulent tout
Aimer à en mourir c’est mon atout
Plénitude de l’amour, ivresse des sens
Mais je sais aussi ralentir la danse...

Alors, zen, Patrick! La musique commence
Je l’entends nettement à sept mois de distance
Je te vois, je te sens déjà venir vers moi
Je me vois approcher, venir en toi…

Patrick-zen-ou-pas-zen ????


Mon petit oiseau m'a dit tout bas
Qu'en tribune H ce soir tu seras
Oh oui je reste zen, vivement Bercy!
Vivement ce soir! de loin? mais si!!!

(Patrick-tout-excité)


Venir en moi?
Moi et toi?
Un soir sur moi?
L'aube avec toi?
Sous quel toit?
En mai, ce joli Mois?

Une colombe est venue
M'a vue ici toute nue,
Oui ce soir suis en "H"
Elle me voit donc sans tache!

Bise…. Au Parc… Tribune H

H
Comme une jolie tache
Sur un corps qui se lache
Après un doux cache-cache...

Patrick-tout-en-H


H
Tout prés de K
A l'étude ce cas?
Quel problème vache!

Bise…. Au Parc…. Toujours


K
Je m'en fous, j'en veux pas!
Je suis plus H que ça!

Patrick-pas-très-K


Tu veux un H? chiche!
Déja tu t'entiches
Mais je ne suis pas potiche,
Juste un simple fétiche!

Bise joueuse


C'est toi le seul H que je connaisse
Mon seul élixir, ma seule ivresse
Ma drogue douce, ma seule faiblesse
Mon seul zéniiiiiiiiiiith quand le bât blesse...

Patrick-sensuel


Superbe attention oui, choisis ta musique
Tes paroles, prépares tes accords
De ceux qui rythmeront mon corps,
Fais-le vibrer aux sons les plus basiques!

Travailles les lumières ou mieux l'obscurité,
Juste un halo pas loin pour mieux profiter
De ces instants et en faire une éternité,
Deux corps qui feront plus que s'agiter!

Pas de fosse, pas de public ni répétitions,
Après sept mois tu dois savoir ta partition,
Et l'adapter à mes sens, inédite situation!
Tu dois savoir improviser de nouvelles positions!

Un violon, un piano, une note, un air
Seuls témoins de cette soirée de rêve,
Nuit magique où tout devient si clair
Où tout devient irréel, moi en tenue d'Eve....!

Bise conseille


Hash, Moquette ou même Coca
C'est ainsi que ma Bise agit sur moi
Je suis désarmé, je suis anéanti
Je ne sais même plus qui je suis!

Patrick-addict

Anéanti c'est trop peu dire
Hier ce fut un vrai délire
J'en reviens toujours pas
En tribune H, elle était là!

Elle était là, c'était bien elle
Elle était là, elle était belle
Elle était là, et moi aussi
Elle était là, et elle est partie...

Patrick-qui-a-du-mal-à-écrire


En H, dimanche soir, j'étais bien là,
En H j'ai pleuré de dépit, de rage
En H je les sentais plein de courage,
Avant que ne vienne ce Cousin là!

En H, j'étais bien là, perdue au milieu de tous
En H ils m'ont abandonnée, seule dans la foule,
En H je n'ai vu que cette équipe qui tousse
Et pourquoi n'as tu osé ce coup de boule!!!!!

Cet éclair, ce mirage: franchir les grilles
Avant que cette mi-temps ne parte en vrille!
Pourquoi te cachais-tu sous ce vilain bonnet:
Je suis partie, déçue, sans même un sonnet !

Bise bourrée de H


Un signe de toi n'aurait-il pas fondu la glace?
Un regard, un mot, une bise; juste une trace!
Mais d'autres amants ce soir-là t'ont captivée
Je te voyais heureuse; j'ai même pas osé!

Je te regardais de loin; je te voyais comblée
Par cette équipe qui tant t’a fait rêver
J’ai croisé ton regard dépouillant les gradins
Tu m’a vu, reconnu, et fait semblant de rien!

Pourquoi ces grands airs? cette fierté mal placée,
Percevoir le bonheur et passer à côté,
Me dédier des vers et des mots cristallins
Pour me laisser comme un con, en haut des gradins?

Suis-je pas digne de toi? Suis-je pas à ton goût?
Me vendrais-tu pour un match à deux sous ?
Et ces mots, ces poèmes imbibés d’amour
Ne seraient-ils pas que le caprice d’un jour ?

Le PSG a perdu, ça me laisse indifférent.
Qui l’aurait dit? Mais mon mal est bien plus grand.
Je t’ai vue, attendu un geste, même à demi-mots;
Et comme à un étranger tu m'a tourné le dos...

Patrick-atteint-en-plein-cœur

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Même pas un mot, même pas un vers
Ma dernière illusion tombe aujourd'hui
Je croyais être ton seul univers
Et je réalise d'emblée ce que je suis...

Patrick-au-cœur-gros


Oh doux ami, une petite journée de silence
Et déjà tu paniques fort, tu me crois morte,
Tu me rappelles à l'ordre, si à toi je ne pense!
Juste un dur labeur, toujours entre deux portes.....

Prends patience, je suis là, toujours là,
Déçue de mon équipe, mais confiante.
Apprends à attendre, que me fais-tu là!
Je suis certes capricieuse, mais point chiante!

Mes caprices ont un parfum, celui du plaisir,
Tes attentes ont un gout, celui de la passion,
Tes angoisses ont une fin qu'il te faut saisir,
Mes humeurs ont un but, une vraie mission!

Bise déçue et réconfortante

Quel est ce plaisir qui t'envahit en ma présence
Ignorant le vécu, affectant l'indifférence?
Quelles sont ces fins qui flattent ton égo
T'inspirant des plans et des astuces à gogo?

Ce dimanche soir aurait été à nous deux
Si, au lieu d'improviser cet horrible jeu,
Tu avais su accueillir à bras ouverts
Ce moment que le sort nous aurait offert.

J'ai des plaisirs aussi, mais ils sont d'amour.
J'ai des caprices à moi, mais sans détours.
J'ai des fins si tu veux, si ce mot t'est cher;
Elles ont mon coeur pour guide, toi pour repère.

"Laisse ta main dans le mienne
Laisse ton coeur se serrer
Combien reste de temps, juste avant
Que le vent nous entraîne
Que tout vienne à changer
On y va, on y est... juste avant..
Combien reste de temps... juste avant..."

Patrick-chantre-de-l'immédiat


Le plaisir, j'aime le faire monter doucement,
Il n'est pas celui d'un instant, éphémère,
Il est ce que la vie m'accorde lentement
Comme à d'autres le droit d'être mère!

Ce plaisir, celui dont tu parles souvent,
Il faut le mériter, me montrer qui tu es.
Je ne le partage pas ainsi, à tous vents,
Je veux voir, sentir, deviner ce que tu es!

Alors, jour après jour, soir après soir,
Viens me dire quelques mots si tendres
Qu'ils pourraient ainsi me laisser prévoir
Ce samedi-là, et ce qu'il faut en attendre!

Bise « maternelle »


Et qui te parle de plaisir éphémère?
Il n'appartient pas à mon vocabulaire!
Le plaisir, le vrai, le durable, le mien
N'a ni date, ni couleur, ni forme, ni rien!

Il est immédiat tel un volcan ardent
Il est éternel tel un rêve inconscient
Il est infini telle l’étendue du ciel
Il est passionné tel un cœur rebelle


Je ne suis pas de ceux pour qui l’amour
S’éclipse lâchement avec le lever du jour.
Immédiat, soit! mais jamais éphémère;
Car dans l’instant se mire tout l’univers.

Immédiat, parce que sincère et humain
Jamais programmé tel un réveille-matin
Jamais réglé pour qu’il sonne à Bercy
J’ai hâte d’y être, mais avant, il y a la vie!

Patrick-pour-la-vie


Aujourd'hui j'y pense, je prends du temps,
Aujourd'hui je t'accorde un doux instant,
Ce matin, ensuite, mais surtout avant ce soir,
Peut être que comme moi tu iras les voir.......


………………….

Tant d'immédiat, de fébrilité, tant et tant,
Pourquoi vies-tu toujours à cette vitesse?
Je préfère garder en moi cette douce ivresse,
Qu'est la lente et fragile marche du temps.

Mon quotidien est rude, j'en sors étourdie!
Pitié, pas ce complot contre moi qu'on ourdit,
Du temps, du calme, ne veux pas de frénésie:
Un moment au bord d'un lac et une belle poésie!

Ensuite, longtemps après, mes sens se retrouvent,
Ils guettent alors l'impossible passion, la déraison...
Tels Hyde et Jekyll, mon âme change de maison,
Alors encore une fois: Attends qu'ils te le prouvent!!!!!!

Bise inflexible et prometteuse

Les arbres sont nus, les fleurs ont séché,
Je me sens seul, fragile, désarmé.
L'automne m'envahit, ma chanson est triste
Telle un cantique fredonné sans choristes.

Dimanche je t'ai vue; nouvelle déception;
Croisements de regards, coeur en érection,
Sens en cavale, doux rêve vermeil;
Et puis le noir, le froid, le réveil...

Toujours insaisissable, toujours fuyante
Tu m'apparaîs pour relancer l'attente
Tu me regardes et tes étincelles m'allument
Tu t'éloignes, et je me perds dans la brume...

Patrick-dans-la-brume
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Et le temps passe... passe....
Et de ma Bise aucune trace
Mes vers n'ont aucune grâce
Sans les tiens qui les enlacent

Tu es partie; tout est dépeuplé
Toute cette foule dévouée
Tous ces “je t’aime” passionnés
Ne valent guère un souffle aimé

O blog de malheur! Je te maudis!
Un petit message pour dire merci
En réponse, que des conneries…!
Et toi? C’est pour toi que j’écris!

O ma Bise! J’ai le mal de toi…
Peux-tu encore lire en moi?
Peux-tu sentir mon émoi
Comme tu l'as fait tant de fois?

Comme un fou je parle au vent
Mais à qui dire ce que je ressens?
Comment t'écrire que je t'attends
Quitte à éterniser le temps?

Patrick-de-nouveau-en-mal-de-Bise


Isis:

Moi aussi je suis triste
de ne plus voir l'artiste
de voir Yasmine si triste

Bise nous soutient
Tel un ange gardien
apparait et disparaît
nous fait de l'effet

Voilà que j'essaye de rimer
pour tenter de l'appâter
au moins la faire rigoler
et ne plus vous voir pleurer

Pourquoi confonds-tu entre Yasmine et moi?
L'amour de Bise je ne mériterais pas?
Mon nom aurait-il une résonance virtuelle?
Ma souffrance serait-elle à ce point irréelle?

Que donnerais-je pour fuir ces caméras
Reflets d'une image qui ne me ressemble pas,
Lumières de projecteurs qui faussent sans pitié
Le visage latent d'un être déchiré...

Que savez-vous de moi? Tout, direz-vous.
Mon CV, ma bagnole, et même mes joujous;
Mes lunettes, mes chaînes et mon t-shirt All access
Et mon pantalon qui laisse deviner mes fesses!

Vous me faites bien rire avec votre savoir
A même de remplir des thèses et des mémoires!
Mais que savez-vous de mes rêves secrets,
Du silence qui suit chacun de mes couplets?

Que savez-vous de moi, de moi qui écris;
De "moi", vous dis-je, non pas de "lui"!
Des labyrinthes noirs où tâtonne mon âme
Qui esquisse discrètement sa vraie trame...

Là, dans ces abîmes sombres et profonds
S'est gravé le visage d'une femme sans prénom;
Un pseudo, un drôle de pari, et puis une bise
Que seul l'Amour couve, anime et éternise...

Patrick-dans-l'abîme


Fatigué peut être? ta tournée? ces cris?
Avec la bise, il faut passer par le froid
Mais certainement jamais par l'effroi,
Il faut comprendre ses silences et écrits...

A Myriam je ne veux point faire d'ombre
Je vous vois tous deux dans la pénombre
Comme un soir, à Lyon, dans la Halle
Se dénuder pour toi, au milieu de la salle!

J'aime Myriam, je la connais, je l'adore
Lucide, elle a su te séduire patiemment,
Jamais jalouse, son grand coeur est d'or
Elle mérite que tu sois, un soir, son amant

Non lointaine Yasmine, Bise ne rejette rien
N'oublie rien, ne renie rien, elle observe!
Pour l'amour, elle joue toujours de sa verve
Depuis tant de temps, à mYmY veut du bien!

J'aime cet amour mesuré, cette passion
Deux personnes en une, le jour et la nuit,
Qui sait attendre et faire baisser la pression,
Puis se déchaine, séduit mais jamais n'ennuie! (Alineséduiteparmymy)

Isis :

Tu voudras bien excuser ma méprise
Et qui suis-je pour décider
Si tu mérites vraiment l'amour de Bise,
Si ta souffrance est vérité ?

Tu dis que tu veux fuir ton image,
Est-ce que tu voudrais être un mirage ?
Ou plutôt ne plus être sous les projecteurs
Et donner à voir ton merveilleux bonheur.

Je ne connais rien de toi
Sinon tes belles paroles
Ta vie d'artiste est pour moi
Pour te voir jouer un rôle.

Je te laisse à tes discussions
Avec toutes tes grandes émotions
Je ne voudrais pas être indiscrète
Et m'immiscer dans votre tête-à-tête


Aucune indiscrétion ma chère et tendre Isis
Tout est poésie quand le coeur s'exprime
Tes vers sont beaux comme une fleur de lys
Et tout est musique quand les mots riment

Myriam et Bise! Quel dilemne pour moi!
L'une si mystérieuse mais ô combien aimée
L'autre, expansive, prête à n'importe quoi
Pourvu que je remarque son déshabillé...

Me proposer une copine? comment le définir?
Est-ce une preuve d'amour que de s'éclipser?
Est-ce un moyen commode pour en finir?
Est-ce une épreuve à laquelle elle me soumet?

Qui choisir? celle pour qui mon coeur bat
Malgré ce cache-cache qui me tourmente
Ou celle qui depuis vingt ans m'attend là
Amoureuse et fidèle, mais jamais indécente!

C'est dur, dur, dur! Aimer ou être aimé?
Pourquoi le destin est-il si prétentieux?
Est-ce un crime que de vouloir rêver
A un Amour où l'amour se fait à deux?

Patrick-confus

Isis:

Me voilà complètement émue
De voir que tu as tout entendu
De mon coeur et de ma poésie
Et quelle joie d'être ainsi accueillie !

Que de questions, d'interrogations,
Comment deviner son intention ?
Je ne peux pas t'apporter de solution
Eventuellement donner ma propre vision.

Un papa m'a appris les secrets d'un coeur
Qui donne sa place à chaque être aimé sans peur
Bise, si généreuse, te fais un grand honneur
Et t'offre de connaître une personne au grand coeur

S'il-te-plaît ne prends pas peur
Vis ces instants
Comme des présents
Et montre-nous ton beau cœur


Aurons-nous un seul jour à nous?
Un soir? une nuit? même un instant?
Je crois de moins en moins au temps,
Je crains que l'affaire, mal ne se noue.

Mes nerfs explosent, mes neurones crient,
Toute cette folie qui monte dans mon corps,
Interdits sensuels, maudits tabous non écrits
La main passe, mes peurs battent un record!

Tout s'éloigne à rebours du temps,
Alors que les dates se rapprochent
Je me sens mal en point, et pourtant
Nous étions toi et moi si proches!

Par bonheur de nouvelles âmes s'éveillent
Des égéries naissent et clament leur bonheur,
En attendant que leurs sens se réveillent
Un jour, une nuit, elle seront bien à l'heure!!!!! (Alineangoisse)


Sous le soleil ardent de l'Ile Maurice
Ma Muse m'appelle, je n'attendais que ça.
Pas la peine d'attendre une heure factice
Pour te dire à quel point j'ai envie de toi

Dans le bleu des eaux qui m'entourent
Se mire un visage qui hante mes pensées
J'aurai envie de plonger à mon tour
Et de poser le mien sur ces lèvres aimées

Maudits paparazzis! que me voulez-vous?
N'ai-je pas le droit de sourire à l'eau???
Dites ce que vous voulez, dites que je suis fou
Mais de grâce, évitez les photos!!!

C'est mon maillot rose qui fait jaser?
Ouffff! je respire! On n’a rien vu !
Cool. Pour une fois je l’ai échappée
Je plonge sous l'eau. Je te quitterai plus…

Patrick-sub-océan

Une Muse t'appelle? une Myss ou une Bise ?
Vraiment, en ce mois, tu ne crains pas la crise,
Quelques photographes auraient surpris ton émoi?
Diable, jamais ne n'aurais pensé que ce fut pour moi.

Alors, cher être scénique, troubadour des zeniths
Plongeons encore plus bas, dans les abysses,
Là où personne ne troublera ces eaux bénites,
Viens, coulons ensemble et attendons la Myss! (Alinelibertine)


Me partages-tu de bon gré avec la Myss?
Une escapade à trois te tente-t-elle vraiment?
Et cette Mymy qui entre nous deux se glisse
Que me veut-elle? A quoi vise-t-elle exactement?

Ne sait-elle pas que le coeur de son Patrick
Est indivisible, quelles que soient les tentations?
Cherche-t-elle un festin ou un pique-nique ?
Putain! je ne suis pas aveugle à sa séduction!

Plongée à trois? tiens, pourquoi pas?
Au fond y a pas de pacte entre nous
Rien n'empêche de tenter pour une fois
Bise et Myss.... Quoi de plus doux?

Patrick-qui-fantasme


Quel coeur? quelle division? un choix à faire...
Entre la Myss et moi, pas de sale affaire,
Elle se glisse, elle vient, en amie, pas en intruse,
Crois-tu que j'allais préparer quelconque ruse?

Non mon ami, nous avons du temps, des idées,
Une soirée, un dîner, un moment de séduction,
A toi de choisir le jeu, nous sommes décidées,
Prêtes à tout, à n'importe quelle révolution!

Propose, nous disposons. Tiens toi prêt, nous venons.
Elle et moi, main dans la main, cela est dangereux,
Crois-tu que nous trois, ensemble serons heureux?
A jouer et à se séduire, des risques nous prenons. (Alineveutsontrio)


On tente le coup? je suis partant!
Te rendre heureuse m'excite déjà!
Et si une autre de même le sera
Je ne vais pas jouer l'indifférent!

Une soirée tel un rêve vermeil
En votre honneur, Mesdames!
Entouré de deux jolies femmes
Pour une nuit, tel un Roi Soleil !

Musique, amour, Myss et Bise...
Un petit verre je vous l’offre déjà.
Un rouge? moi je dirais Vodka!
Acceptez-le, oui, sans hantise...

Patrick-qui-se-lache

A ces mots Yasminella sort de la chair de Patrick et son instinct de femme prend le dessus… Pourquoi Bise et Myss avec Patrick ? Pourquoi pas elle ???? Bise a tout compris…


Oh cher ami, une troisième crie à s'époumoner
As-tu assez de place dans ton coeur, sous ton toit?
Déjà elle se partage entre elle et toi,
Donnons-lui la chance de se cloner... (Alineespère)


Une troisième femme? Qui est-elle?
Mon Dieu! qu'est-ce qui se passe?
Je ne cherchais que toi ma belle
Et là tu mets dans l'impasse!!!

(Patrick-entre-trois)


Myss et Bise et puis voilà Yasmine
Cette soirée ne paie pas de mine
Nous voilà quatre, sacré poker
Mais qui en sera le joker?

Qui est donc cette Yasmine que vous invitez?
Une fan? une amoureuse? une poupée?
De vous deux serait-elle un peu jalouse?
Cette soirée si intime tourne en partouze!!!

Patrick-perplexe


"Partouze"? quel vilain mot pour le sensuel amour,
Partage des sens, oui, assurément montée du plaisir
N'insultons pas l'amour et n'ayons pas peur du désir
Caresses, jeux divins, nous sommes tous très glamour!

Yasmine est là, Yasminella, Yasmine viendra
Elle partagera nos moments, nos instants,
Et qui sait? se blottira dans nos draps,
Ici ou là, ne crois-tu pas qu'il est temps? (Alinequinaimequedamour)


Là, Yasminella se voit obligée d’intervenir…

Yasminella:

Excuse-moi si je m'incruste ma Bisette adorée
Tes vers me vont droit au coeur; sois-en sûre
Je suivrai discrètement votre douce soirée
Mes mains sur le clavier, tant que ça dure..

Pour vous deux, mes belles et tendres amies
Je resterai à l'écart, mais pas trop loin
Ce sera votre jour, votre sacrée nuit
Une éternité toute à vivre, jusqu'au matin…

Et j'en ferai des vers de plus en plus intenses
Au rythme de vos corps qui se confonderont
Des mots qui rimeront avec vos sens
Et qui iront se perdre dans votre tourbillon...


Oh maYasmi, jamais tu ne seras à l'écart,
Je ne permettrai jamais qu'un homme
Soit un obstacle et notre amitié ne gomme,
Pour toi seulement alors ce petit encart...:

Celui que "tu es" ici saura nous comprendre
Il verra avec bienveillance, ce cri que je lance
Et ces doux vers jamais ne pourra prendre,
Pour toi seulement aujourd'hui d'amour je danse!

Alors toi "Oh ami des planches" lis ces mots
Octroie une chance, une journée, une soirée
Si tu m'aimes, reunis nous au délà des maux,
Et que ce soit un souvenir plus beau que le Pirée

Je serai à toi, plus belle que jamais,
Mes yeux que certaines vantent
Ne seront que, en ce soir de Mai,
Que vers toi, même si cela les hantent..... (Alineaucoeurdelleetlui)

ECHOS...


Isis :

Comment allons- nous survivre ?
Comment allons-nous sourire ?
Votre amour nous enchantait,
Votre belle prose nous a charmé.

Une belle histoire virtuelle,
Telle une jolie ritournelle,
Où en est-elle aujourd'hui ?
Pourquoi écrire le mot « fin »
Et nous laisser sur notre faim ?

Mon coeur saigne,
Des larmes de sang
Noient ma peine
Dans un torrent.

Alors que je rêvais
De pouvoir rencontrer
Un tel corps à corps
Encore et encore !

Vous voudrez bien
Excuser ma poésie,
Qui a pour seule envie
D'être un lien.


Yasminella :

Désolée, déesse, de te décevoir
C'est Yasminella qui t'écrit...
C'est pas moi que tu voulais voir;
Je sais, mais Patrick est loin d'ici..

Ca y est, il ne nous entend plus
Il est trop loin à présent...
A ses amours il est revenu
Il a retrouvé sa vie d'antan.

A son piano il est assis
Comme si rien n'était
Comme si le cours de sa vie
Ne s'était jamais arrêté..

Et au fond, rien n'a changé
Tout est rentré dans l'ordre
Les rêves se sont dissipés
Emportant trois ans de désordre

Une bise, une idylle, un poème
Et puis du coup tout est fini...
Mais d'autres se croisent et s'aiment.
A qui le tour? Rendez-vous à Bercy!


Isis :

Voilà tous mes espoirs
D’une si belle rencontre
S’envolent dans le soir,
Je n’irai pas à l’encontre.

Laisse-moi le temps
De regretter cette histoire
Laisse-moi le temps
De ne plus broyer du noir.

Patrick à son piano
Et vous deux en solo,
Je me trouve orpheline
Avec l’humeur câline.

Je croise d’autres images
Sans croire aux mirages.
Bercy arrive à grands pas
Oui J’irai, je serai là !

....

Continuer dites-vous ?
avec qui, avec vous ?
Vous me soutenez !
vous m'encouragez !

Yasmine porte une nouvelle vie,
Patrick est retourné à sa vie,
Et Bise doit dire adieu à une vie.
Moi, je cherche le chemin de ma vie !

Mon coeur a envie d'écrire ses peurs,
il n'est pas prêt à assumer ses leurres.
Vos encouragements me touchent
M'embrasent et me transcendent.

Rendez-vous à Bercy est donné,
Oui, avec vous, j'y vais, j'y serai !
Yasmine et Bise vont me manquer,
Les Pat'in net vont m'entourer .


Isis ! Quelle sublime et jolie transmission
Bruel n’y perdra en rien, bien au contraire
D’une bise jugée par trop mystérieuse
Il gagne, c’est certain, une Isis fort précieuse.

Merci de prendre le relais de cette mission
Je suis fière que ce soit toi : tu sauras y faire!
Le temps de m’éloigner est venu, lui dans la lumière,
Petite inconnue d’un soir je reste, mon ultime prière. (Alineémuetrésémue)

...

De longues années plus tard, alors que tout semblait fini,
L'idylle oubliée, rejettée aux calendes grecques .... un miracle !!!
Ils se retrouvèrent non loin, dans un silence infini,
Des absences, des trous, du calme, et surtout plus de tacle ...

Il suffit d'un nouveau maillot, d'un nouveau mot sur la manche,
il suffit d'une nouvelle présence, plus belle, plus proche,
Pour que de nouveau il tombe devant son jeu de hanche,
Et se rappelle la bise aussi claire que l'eau de roche ....

Il faudrait peut-être que je me décide a le lire ce texte !!!!

Il vaut la peine, Laure!

Je n'en doute pas un seul instant Renée

Lors de la présentation, son regard se fit insistant, interrogateur
J'imaginais son travail de mémoire ….. mais qui? Mais où?
Se souviendra t'il d'un soir où il était devenu comme fou?
Se rappellera t-il de cette fameuse bise dont j'étais l'auteure?

J'avais certainement changé, le poids des ans, des souffrances
J'avais pris des rides, six ou sept ans de plus sur mon corps
j'entrevis dans ses yeux, me regardant, comme un accord
Comme une lueur, une interrogation, comme l'avenir de la France!

Tu m'as zappé à Bercy, lors de mes tournées, et te revoilà!
A travers mes chansons, mes soirées, je te cherchais!
Tu n'es jamais venue après nos rêves de cette année là;
J'ai fini par me faire une raison, et compris que tu me lachais!

Juste en souvenir, tes mots dans un vrai livre d'or
J'espérais plus que des mots, mais depuis tu dors
Il nous faut cette fois encore revenir au Parc
Pour que tu cherches tes flèches et bander ton arc

Il m'aurait donc reconnu, mais savait il de ma nouvelle vie?
Avait il au-delà du souvenir, toujours cette envie?
Moi-même j'avais tout oublié jusqu'à ce jour,
Comme si ma vie filait, à l'envers ou à contre jour.

Eut il ce frisson? Ce choc? Sentit il la vague?
Allait il toujours de l'avant ou s'était il posé?
Avais je toujours aussi faim de délires osés?
Ou bien n'étais je que semblable à un tag?

Je vois bien que la petite Bise
A plus que des mots dans sa valise..
Serait elle toujours prête à séduire
Le grand loup méchant en veste en cuir??

Même si elle n'est plus la demoiselle
À qui on dit: tais toi et sois belle!
Mais une vraie femme qui pourrait faire fuir
Le grand peureux loup en veste en cuir..



Ne sois pas trop dur avec moi, hein, c'est la première fois que j'ai essaié de faire un poème en français...

Et ben waouhh!! pour une premiere fois!! dis donc!!!